L’HYPNOSE, POUR QUOI FAIRE ?
Dans mon cabinet à Tourcoing, je vous propose un accompagnement par l’hypnose. Cette pratique vise à modifier les causes d’un comportement inapproprié, à cerner les réactions inadéquates, à les surmonter et à vous accompagner pour trouver comment les modifier
L’hypno-analgésie et ses bienfaits sur la douleur
L’hypno-analgésie offre une approche douce du traitement de la douleur. La méthode consiste à accompagner les patients souffrant de douleurs chroniques en complément de leur traitement médical.
En sollicitant l’inconscient du patient, je l’amène à modifier son ressenti face à cette douleur. Je vous initierai à l’auto-hypnose afin de vous autonomiser dans votre pratique quotidienne. L’application « hypnocare » vous sera proposée dans cet objectif.
Quel type de douleur contrôler par l’hypnose ?
L’accompagnement par l’hypnose permet de considérer la douleur chronique comme une pathologie. Radicalement différente de la douleur aigüe, la forme chronique de la douleur est récurrente. Elle peut ainsi revenir après un moment, ou durer plusieurs mois sans que l’état du patient ne s’améliore.
Les types de douleurs pris en charge sont nombreux :
- Les migraines trouvant leurs sources dans le stress ou les troubles anxieux ;
- Les douleurs lombaires et dorsales dues à des positions de travail ou de sommeil inadaptées, à une surcharge pondérale, à des contractures marquées ou encore à une accumulation de stress ;
- Des douleurs musculaires ;
- Un inconfort au niveau du cou, conséquence de tensions musculaires cumulées ;
- Des douleurs articulaires ;
- Des chocs traumatiques, comprenant les blessures des membres ou du corps ;
- Des troubles du système digestif, incluant les troubles intestinaux, l’irritation du colon, les maux de ventre et autres maux d’estomac.
L’hypnose n’est pas une thérapie de substitution mais une thérapie complémentaire. Avant toute consultation, il advient donc de consulter au préalable votre médecin traitant.
Stress et anxiété… comment faire la différence ?
Le stress est une réaction normale de l’organisme : il est déclenché par une sollicitation inhabituelle de l’être psychologique et physiologique. Il se développe lorsque l’environnement d’une personne est soumis à une forme d’agression ou de pression importante.
Initié par des appréhensions, des conflits, des manques ou une source ingérable d’émotions, le stress est présenté comme un mécanisme utilisé par le corps pour répondre à cette sollicitation. S’il est généralement perçu comme un élément néfaste qui nuit au mental, le stress peut être bénéfique lorsqu’il permet d’accélérer les prises de décision. Utilisée par beaucoup comme un stimulateur de performances, la mauvaise gestion du stress est nocive à bien des égards.
La frontière entre le stress et les troubles anxieux est mince. Le stress peut d’ailleurs être catégorisé parmi les formes d’anxiété connues. Je rencontre au quotidien des personnes qui font face à une forme ou à une autre d’anxiété.
L’hypnose, un accompagnement contre les comportements addictifs
Tous les comportements addictifs ne peuvent être pris en charge par l’hypnose. Le plus courant est le tabagisme. Le protocole mis en place au cabinet a fait de nombreuses fois ses preuves. Il se base, entre autre, sur votre volonté et mets en œuvre l’ensemble de vos apprentissages antérieurs pour en venir à bout.
Que faire en cas de rechute ?
J’incite le patient à considérer la rechute lors de l’arrêt du tabac comme une occasion de se remettre en question, d’analyser les progrès, et de comprendre les raisons de la récidive. La rechute doit seulement être considérée comme une étape supplémentaire à l’apprentissage.
Peurs et phobies : d’où viennent-elles ?
La peur est un sentiment normal que chaque personne ressent différemment. La phobie naît d’une crainte qui prend des proportions anormales. Elle porte généralement sur un élément spécifique. Elles naissent des suites d’une impossibilité à contrôler quelque chose dont les répercussions se constatent directement sur notre environnement. Ces peurs irraisonnées peuvent porter sur des objectifs divers : les animaux, les oiseaux, la foule, le sang, les orages… Chaque personne ressent différemment la phobie qui initie le besoin maladif de ne pas être confronté à l’objet de sa peur.
Certaines phobies sont les plus récurrentes que d’autres. Celles que je retrouve le plus souvent sont les suivantes :
- L’agoraphobie : la peur des espaces ouverts
- La claustrophobie : la peur des espaces clos
- L’arachnophobie : la peur des araignées
- L’aquaphobie : la peur de l’eau
- L’aérodromophobie : la peur des vols en avion
- La cancérophobie : la peur du cancer
- La nécrophobie : la peur de la mort
- L’acrophobie : la peur des hauteurs
- La phobie sociale : la peur des situations sociales